La base d’une République démocratique, citoyenne et laïque : l’ Éducation... Sans laquelle rien n’est possible durablement.
* Nous proposons que l’éducation civique, certes fasse partie intégrante du programme éducatif, mais apprenne aussi les valeurs républicaines de notre pays, car suivant sa culture, chaque pays du monde a des valeurs qui peuvent être différentes des nôtres, or en France seules les valeurs de notre République doivent être appliquées, et ce d’une façon intransigeante.
* Ce qui n’empêche en rien de faire connaître aussi le fonctionnement dans les autres pays, mais en France on applique nos valeurs.
* Nous proposons de faire connaître les principaux articles de la Constitution. - Nous proposons de parler de la SHOAH, mais aussi dénoncer et faire connaître tous les autres génocides, Arménie, Burundi, Rwanda, Bosnie, Cambodge etc. dans notre système éducatif par tous les professionnels de l’Education Nationale (écoles primaires, collèges, lycées).
* Nous sommes reponsables, en tant qu’adultes, de faire connaître ces massacres qui continuent dans notre monde.
* Seule façon logique et simple d’apprendre et de faire comprendre aux jeunes qui seront les hommes et femmes de demain que malheureusement la paix durable dans le monde n’existe pas et que les génocides perdurent depuis la nuit des temps.
1515 : Marignan est « notre histoire », mais bien que l’un n’empêche pas l’autre, à choisir, ne faut-il pas faire apprendre en priorité ces génocides pour la paix à nos adolescents, donc futurs adultes ?
Nous proposons que l’Espéranto, langue universelle, soit reconnu comme 2ème langue possible aux épreuves du baccalauréat, comme le sont notamment le Breton, la langue d’Oc, le Tahitien,... www.eduscol.education.fr
Nous proposons que l’étude des textes fondamentaux comme la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen soit obligatoire pendant la scolarité.
Nous proposons une information éducative permanente pendant la scolarité concernant les effets négatifs de l’usage de l’alcool, des drogues et du tabac, la prévention étant la base.
Nous proposons que les collèges soient de nouveau gérés par l’état et non par les conseils généraux des départements, et les lycées à nouveau gérés par l’État et non pas, comme actuellement par les conseils régionaux.
En effet, peu de citoyens, par manque d’information, savent que les collèges ne sont pas gérés par l’état, mais par les conseils généraux départementaux depuis de nombreuses années suite à la décentralisation.
* De même, peu de citoyens savent que les lycées sont gérés en grande partie par le Conseil Régional.
Cela ne nous semble pas équitable dans une république laïque, où l’État doit assumer ses fonctions régaliennes pour tout son système éducatif, sinon cela devient une addition de mini-royautés.
Le conseil général départemental est en grande partie tributaire du budget alloué par le gouvernement, donc selon sa couleur politique, l’impartialité dans la distribution de ces budgets de fonctionnement ne peut être garantie.
Est-ce logique ? Dans ce contexte, et une fois de plus, notre Constitution déclarant que l"a France est une et indivible" est bafouée.
* Conclusion : Les lycées et les collèges doivent etre gérés par l’état, cela fait partie de ses fonctions dites régaliennes, or ce n’est pas le cas actuellement.
* L’ECOLE MATERNELLE -
Nous savons toutes et tous que c’est dès l’école maternelle que la future personnalité d’un enfant se décide = accord unanime de tous les pédopsychiatres sur ce constat.
Autant nous ne sommes pas persuadés que nous pourrions résoudre tous nos problèmes en faisant appel à des spécialistes, autant en ce qui concerne l’éducation, au contraire, nous revendiquons la nécessité de professionnels de l’enseignement reconnus et revalorisés, entourés de spécialistes si besoin, notamment dès l’école maternelle.
Un enfant ne s’épanouit qu’avec des paramètres incontournables comme la famille, or force est de reconnaître que dans notre société actuelle, la famille peut ne pas avoir le « savoir-faire », ou ne pas avoir le temps nécessaire pour s’occuper de l’enfant, sans oublier hélas l’absence totale de famille pour certains enfants.
* Ceci est évidemment primodial dès la petite enfance.
Il faut donc réagir dans les 2/3 premières années de l’école maternelle, que ce soit pour des risques de santé, troubles du langage, problèmes dentaires, de vue, d’audition…, ou des risques de violence et/ou d’agressivité, tous les spécialistes médicaux ou sociaux s’accordent sur ce délai.
* Nous proposons qu’un enfant qui rentre à la maternelle soit reçu par un pédopsychiatre professionnel indépendant.
La prise en charge de la consultation sera assurée par l’État pour les familles les plus démunies.
Un carnet de santé de pédopsychiatrie sera remis à la famille, en toute confidentialité, à charge à cette famille de fournir ce carnet, si par la suite l’enfant rencontre des problèmes dans son comportement.
Nous constatons que les familles aisées n’hésitent pas à emmener leur enfant chez un pédopsychiatre, heureusement souvent pour une inquiétude injustifiée.
Il faut savoir que de plus en plus les pédopsychiatres reçoivent en consultation des familles pour leurs bébés.
Or, il est inadmissible que dans le principe de l’égalité, ce soit encore une fois les familles les plus démunies qui ne peuvent pas toujours faire cette démarche, par manque de moyens financiers et/ou par manque d’information.
Le principe de l’égalité justifie notre proposition qui, de plus, permettra, dès la maternelle, de suivre un enfant de façon à lui donner un maximum de chances de réussite dans sa vie future.
* Nous proposons que l’éducation civique, certes fasse partie intégrante du programme éducatif, mais apprenne aussi les valeurs républicaines de notre pays, car suivant sa culture, chaque pays du monde a des valeurs qui peuvent être différentes des nôtres, or en France seules les valeurs de notre République doivent être appliquées, et ce d’une façon intransigeante.
* Ce qui n’empêche en rien de faire connaître aussi le fonctionnement dans les autres pays, mais en France on applique nos valeurs.
* Nous proposons de faire connaître les principaux articles de la Constitution. - Nous proposons de parler de la SHOAH, mais aussi dénoncer et faire connaître tous les autres génocides, Arménie, Burundi, Rwanda, Bosnie, Cambodge etc. dans notre système éducatif par tous les professionnels de l’Education Nationale (écoles primaires, collèges, lycées).
* Nous sommes reponsables, en tant qu’adultes, de faire connaître ces massacres qui continuent dans notre monde.
* Seule façon logique et simple d’apprendre et de faire comprendre aux jeunes qui seront les hommes et femmes de demain que malheureusement la paix durable dans le monde n’existe pas et que les génocides perdurent depuis la nuit des temps.
1515 : Marignan est « notre histoire », mais bien que l’un n’empêche pas l’autre, à choisir, ne faut-il pas faire apprendre en priorité ces génocides pour la paix à nos adolescents, donc futurs adultes ?
Nous proposons que l’Espéranto, langue universelle, soit reconnu comme 2ème langue possible aux épreuves du baccalauréat, comme le sont notamment le Breton, la langue d’Oc, le Tahitien,... www.eduscol.education.fr
Nous proposons que l’étude des textes fondamentaux comme la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen soit obligatoire pendant la scolarité.
Nous proposons une information éducative permanente pendant la scolarité concernant les effets négatifs de l’usage de l’alcool, des drogues et du tabac, la prévention étant la base.
Nous proposons que les collèges soient de nouveau gérés par l’état et non par les conseils généraux des départements, et les lycées à nouveau gérés par l’État et non pas, comme actuellement par les conseils régionaux.
En effet, peu de citoyens, par manque d’information, savent que les collèges ne sont pas gérés par l’état, mais par les conseils généraux départementaux depuis de nombreuses années suite à la décentralisation.
* De même, peu de citoyens savent que les lycées sont gérés en grande partie par le Conseil Régional.
Cela ne nous semble pas équitable dans une république laïque, où l’État doit assumer ses fonctions régaliennes pour tout son système éducatif, sinon cela devient une addition de mini-royautés.
Le conseil général départemental est en grande partie tributaire du budget alloué par le gouvernement, donc selon sa couleur politique, l’impartialité dans la distribution de ces budgets de fonctionnement ne peut être garantie.
Est-ce logique ? Dans ce contexte, et une fois de plus, notre Constitution déclarant que l"a France est une et indivible" est bafouée.
* Conclusion : Les lycées et les collèges doivent etre gérés par l’état, cela fait partie de ses fonctions dites régaliennes, or ce n’est pas le cas actuellement.
* L’ECOLE MATERNELLE -
Nous savons toutes et tous que c’est dès l’école maternelle que la future personnalité d’un enfant se décide = accord unanime de tous les pédopsychiatres sur ce constat.
Autant nous ne sommes pas persuadés que nous pourrions résoudre tous nos problèmes en faisant appel à des spécialistes, autant en ce qui concerne l’éducation, au contraire, nous revendiquons la nécessité de professionnels de l’enseignement reconnus et revalorisés, entourés de spécialistes si besoin, notamment dès l’école maternelle.
Un enfant ne s’épanouit qu’avec des paramètres incontournables comme la famille, or force est de reconnaître que dans notre société actuelle, la famille peut ne pas avoir le « savoir-faire », ou ne pas avoir le temps nécessaire pour s’occuper de l’enfant, sans oublier hélas l’absence totale de famille pour certains enfants.
* Ceci est évidemment primodial dès la petite enfance.
Il faut donc réagir dans les 2/3 premières années de l’école maternelle, que ce soit pour des risques de santé, troubles du langage, problèmes dentaires, de vue, d’audition…, ou des risques de violence et/ou d’agressivité, tous les spécialistes médicaux ou sociaux s’accordent sur ce délai.
* Nous proposons qu’un enfant qui rentre à la maternelle soit reçu par un pédopsychiatre professionnel indépendant.
La prise en charge de la consultation sera assurée par l’État pour les familles les plus démunies.
Un carnet de santé de pédopsychiatrie sera remis à la famille, en toute confidentialité, à charge à cette famille de fournir ce carnet, si par la suite l’enfant rencontre des problèmes dans son comportement.
Nous constatons que les familles aisées n’hésitent pas à emmener leur enfant chez un pédopsychiatre, heureusement souvent pour une inquiétude injustifiée.
Il faut savoir que de plus en plus les pédopsychiatres reçoivent en consultation des familles pour leurs bébés.
Or, il est inadmissible que dans le principe de l’égalité, ce soit encore une fois les familles les plus démunies qui ne peuvent pas toujours faire cette démarche, par manque de moyens financiers et/ou par manque d’information.
Le principe de l’égalité justifie notre proposition qui, de plus, permettra, dès la maternelle, de suivre un enfant de façon à lui donner un maximum de chances de réussite dans sa vie future.