Économie :
Redonner aux états européens le droit de créer de l’argent
Depuis 1973, les états se sont volontairement annuler le droit de créer de l’argent et ceci a été le début de l’endettement des états de manière générale.
En France, la somme de la dette représente ce qu’on a payé en intérêt ce qui veut dire que si la France avait gardé le droit de créer sa monnaie, l’état n’aurait aucune dette sans pour autant changer la manière de fonctionner
Solder tout compte via la BCE et Banque Nationales l’ensemble des dettes (valable pour l’ensemble des pays européens
Ce solde tout compte sera éxécuté sous forme de création monétaire, mais reproductibles qu’une seule fois
En effet, lorsque l’on attribue aux banques le droit de créer de la monnaie, ils peuvent par le biais de « dettes » et de système de prêts interbancaires créer de manière artificielle 100X l’argent « créé ».
Cette reprise de dettes ne peut donc pas s’accompagner de trop de création d’argent
Interdire les prêts interbancaires
Les prêts interbancaires sont la plaie qui place la finance comme vecteur principale de la richesse.
Les banques devront prêter aux seule entreprises et particuliers.
Oui au capitalisme d’entreprise
Non au capitalisme financier
Nouvelle réglementation boursière
- Interdire la vente d’action sans en avoir !
Dans le système boursier actuel, certains peuvent vendre des actions sans les avoir, ce qui a permis par exemple à certains financiers peu scrupuleux de parier à la baisse des actions spécifique lors du drame du 11 septembre.
Nous devons donc pouvoir acheter si on a de quoi payer et vendre ce qu’on a, mais ne plus pouvoir vendre ce que l’on n’a pas.
La spéculation à la baisse ne peut plus exister !
- Engagement dans le temps lors d’acquisition d’action.
Dans le système boursier actuel, nous pouvons acheter et vendre à volonté des actions sans aucune limite. Ainsi, on peut acheter une action EDF à 10 heures du matin, pour la revendre 1 heure plus tard.
Il est donc nécessaire d’établir des lois interdisant cette pratique au jour le jour et placer un engagement de deux mois (par exemple) concernant les dites actions.
- De nouveau moyens pour la COB
Il apparait que la commission des opérations boursières se révèle totalement insuffisante pour établir des rapports d’entreprises qui soient fiables !
Il est nécessaire donc pour la COB d’avoir des moyens viables, se détachant de toute pression politique et financière pour avoir les moyens de contrôle d’entreprise et contrôler les opérations boursière parfois douteuses.
- Interdire la spéculation sur les matières premières
Que ce soit pour le pétrole, uranium, nourriture, métaux ou autres matières premières, la spéculation sur ces matières déséquilibre de manière conséquente les cours et ceci de manière artificielle, ce qui va à l’encontre du libre échangisme.
De puissantes mannes financières se jouent donc de part leurs capacités financières des cours et influent gravement sur leur cours pour en tirer du bénéfice au détriment des entreprises et citoyens qui en payent directement ou indirectement les conséquences.
Il s’agit en fait d’impôt direct de la part de capitaux financiers sur les entreprises, citoyens et pays de manière générale.
De surcroit, les mannes financières ainsi utilisées ne sont en aucun cas « productives », et agissent donc de manière parasitaire sur l’économie en général et ses principes fondamentaux.
L’argent doit être utilisé pour des projets réels et non plus pour faire de l’argent avec de l’argent.
Ces séries de propositions visent donc à redonner une impulsion à la production, aux citoyens et aux entreprises plutôt qu’à des mannes financières.
Il va sans dire que ces propositions sont selon nous une nécessité absolue pour à la fois réguler la bourse et redonner la richesse vers ceux qui les produisent (entreprises/travailleurs).
D’autres propositions peuvent largement être émises et soumises
Les impôts
Les impôts doivent être payé là ou la richesse à été reçue.
Exemple, si Johny Halliday reçoit de la vente de disque en France 1 Million d’€, alors ces 1 million doivent être taxé dans le pays ou la richesse à été faite
Idem pour les entreprises
Cela éviterait les « fuites » vers des pays défiscalisés de gens très riches
Idem pour les entreprises
Concurrence libre et non faussée
Cet article n’est que très partiellement appliqué.
En effet, la concurrence est faussée à partir du moment ou les lois sociales d’un pays à un autre ne sont pas les mêmes.
Une taxe sociale adaptée au système social du dit pays importateur devrait selon ce principe être appliquée.
Ce qu’il faut savoir, c’est que cette dite concurrence fut voté lors de Maastricht, et de l’Europe des 12 ou à l’époque, les pays de l’UE (ou de la CEE) avaient des pays ou les droits sociaux étaient globalement similaires
Moratoire sur la grande distribution
Ce qu’il s’est passé aux Antilles s’applique de manière peut être un peu moins brutale mais tout autant en métropole.
Ainsi, une poigné de très grand distributeur ont main mise sur ce secteur qui fausse complètement la supposé concurrence. Ainsi des écarts énormes s’observent entre le prix payé aux producteurs et le prix payé par le consommateur.
Ces écarts ne peuvent être que drastiquement réduit
Aide à l’autogestion d’entreprise en faillite
Lorsqu’une entreprise fait faillite, une aide Européenne ou d’Etat doit être proposé aux ouvriers et cadres de l’entreprise pour « autogérer » cette dernière.
Cela marche en Amérique du sud, pourquoi pas ici.
Des fonctionnaires d’état ainsi seraient affectés pour aider à la fois juridiquement et d’un point de vue organisationnelle l’entreprise en faillite pour tenter l’autogestion de l’entreprise.
Ces entreprises autogérées furent légions dans le début des années 70 en France mais l’anathème des entreprises « standards » fut lancé contre elles, signant leur arrêt de mort.
Les états devront donc veiller à ce que telles choses ne puissent se reproduire.
- Le chômage
Les écarts constatés entre pays européens sont souvent dus à des modes de calculs différents d’un pays à un autre.
Il apparait donc nécessaire d’établir un mode de calcul standard européen pour avoir un calcul le plus fiable possible d’un pays à un autre.
- Les délocalisations
Seront « combattu » par l’aide à l’autogestion des entreprises en faillite doublé d’une correction de la notion de la concurrence libre et non faussée
- Conditions de travail et travail au noir
Selon l’INSEE, le travail au noir représente non moins de 5% du PIB.
Le travail au noir, si tout le monde le dénonce, aucune mesure concrète et forte n’a encore jamais vu le jour, surtout par le manque de moyen des inspecteurs du travail dont leur nombre apparait comme très largement insuffisant.
Le travail au noir ET la dégradation récente des conditions de travail sont essentiellement dus à la toute puissance de la compétitivité exacerbée que l’on nous impose.
Les états et autres institution ne dérogent pourtant pas à la règle, choisissant le moins cher tout en étant peu regardant sur les conditions de travail de la dite entreprise.
Il y a donc plusieurs points d’attaque à étudier :
1 – Le droit du travail doit primer et ceci de manière absolue à toute forme de compétitivité.
Il faut donc redonner des moyens conséquents aux inspecteurs du travail. Les réformes en ce sens devront suivre les avis concertés des professionnelles (syndicat des inspecteurs du travail, syndicat des entreprises et organisation patronale)
2 – Multiplier de manière significative les contrôles concernant le travail au noir
Il apparait nécessaire que cette multiplication de contrôles ainsi que l’augmentation substantielle des amendes soient suffisants pour que le travail au noir ne devienne plus « rentable » à l’entreprise.
- L’immigration
L’immigration a des sources qu’il faut étudier :
L’éducation dans les pays pauvres
L’éducation faite dans les pays pauvres s’inspire toujours du colonialisme. Ainsi, dans les pays africain, nous pouvons voir des programmes instruisant les élèves sur l’Europe et l’occident de manière essentielle.
Il apparait donc extrêmement clair qu’il faut changer les programmes via une coopération Europe/Afrique afin d’établir des programme remettant l’Afrique au centre de l’éducation africaine.
Ces relents colonialistes existent toujours et sont une source intarissable de création d’envie de la part de nombre d’africain à vouloir absolument venir en Europe ce qui a pour conséquence un afflux migratoire créant de la misère humaine en Europe, mais également détruisant une grosse partie de la force africaine qui en a pourtant besoin pour son développement.
Cette coopération devra donc se faire sous le principe de fierté africaine, les programmes éducatif étant fait par les africains pour les africains. L’Europe ne fera qu’aider (les intellectuels africains pouvant bénéficier des recherches faites ici sur l’éducation pour l’élaboration de nouveaux programmes éducatifs)
Donner de réels moyens aux pays pauvres pour leur développement
Par le principe de concurrence libre et non faussée, il faudra détaxer de manière très significative les denrées issues de commerce équitable (un commerce qui profite d’abord au peuple local).
Former les africains aux techniques de créations d’énergie durable (envoie d’ingénieurs, de formateurs et de technicien), former les immigrés clandestins à ces techniques afin que leur retour soient profitable à leur pays, à leur peuple.
Établir des plans d’échange de denrées alimentaires sous forme de troc et non plus par rapport à des aléas boursiers (blé contre café)
En effet, le FMI a pour ainsi dire imposer aux pays pauvres des cultures non vivrières et il est du ressort de la justice que d’assurer un échange équitable dans le temps
Moratoire sur la concurrence de certaines firmes alimentaires dans les pays en voie de développement ou certaines firmes n’hésitent pas à vendre à perte (dumping) pour fusiller les marchés locaux vivriers.
Une législation internationale est pour cela nécessaire pour bannir ce genre de pratique.
Accord bilatéraux entre pays en voie de développement et pays riche
Dans bien des pays en voie de développement, en plus de la promotion des pays occidentaux dans les écoles, il y a des promotions presque étatique pour aller dans les pays occidentaux (affiche du style « venez en France faire fortune » dans les centres villes ou village)
Cette promotion de la France, Europe et occident n’est ni profitable pour l’Europe, ni pour l’Afrique car ce sont les africains les plus cultivés et plus riches qui tente l’aventure dans des conditions bien souvent horribles voire mortelles.
De plus, bien souvent les émigrés subissent des échecs car la vie pour un sans papier est très rude… Et lorsqu’ils se font expulser, ils doivent porter la honte de l’échec ce qui intensifie encore plus la tragédie qui se joue.
Ces accords doivent donc être établis, à savoir ne plus faire de « promotions » pour les « pays riches » et informer la société africaine que la vie dans nos pays pour les sans papiers n’est en rien chose aisée.
L’immigration choisie voulue par Sarkozy est une hérésie totale car les conséquences de cette immigration choisie est de vider une élite africaine et donc par répercussion fauche les principales ressources humaines africaines, maintenant ces pays dans une misère latente et persistante.
Il faut voir les choses en face, nous fustigeons l’immigration comme maux de tous nos malheurs, alors que dans les faits, nos politiques cautionnent un système qui maintient nombre de pays dans la pauvreté et la misère favorisant ainsi une immigration de masse vers nos pays, incluant une misère humaine en plus certaine.
Partons donc du principe simple, à savoir une aide sincère aux pays à fort taux d’émigration avec en retour un arrêt de la promotion de nos pays.
Ce principe, jamais aucun politique ne l’a évoqué !
Pour finir, les hommes naissent libres et égaux en droit, qu’ils soient immigrés clandestins ou natif français. Il est tout à fait anti républicain de condamner des personnes qui aident des immigrer dans la misère quand ces personnes souvent bénévoles ne font partis d’aucune mafia ou autre.
Les dérapages multiples quant à nos principes fondamentaux (condamnation de bénévoles innocents… coupable QUE d’aider son prochain) sont à dénoncer avec la plus grande des fermetés.
Ce principe vise donc la source de l’immigration non choisi (que ce soit par les deux pays, le pays d’accueil et le pays de départ), prenant en compte l’ensemble des paramètres
Redonner aux états européens le droit de créer de l’argent
Depuis 1973, les états se sont volontairement annuler le droit de créer de l’argent et ceci a été le début de l’endettement des états de manière générale.
En France, la somme de la dette représente ce qu’on a payé en intérêt ce qui veut dire que si la France avait gardé le droit de créer sa monnaie, l’état n’aurait aucune dette sans pour autant changer la manière de fonctionner
Solder tout compte via la BCE et Banque Nationales l’ensemble des dettes (valable pour l’ensemble des pays européens
Ce solde tout compte sera éxécuté sous forme de création monétaire, mais reproductibles qu’une seule fois
En effet, lorsque l’on attribue aux banques le droit de créer de la monnaie, ils peuvent par le biais de « dettes » et de système de prêts interbancaires créer de manière artificielle 100X l’argent « créé ».
Cette reprise de dettes ne peut donc pas s’accompagner de trop de création d’argent
Interdire les prêts interbancaires
Les prêts interbancaires sont la plaie qui place la finance comme vecteur principale de la richesse.
Les banques devront prêter aux seule entreprises et particuliers.
Oui au capitalisme d’entreprise
Non au capitalisme financier
Nouvelle réglementation boursière
- Interdire la vente d’action sans en avoir !
Dans le système boursier actuel, certains peuvent vendre des actions sans les avoir, ce qui a permis par exemple à certains financiers peu scrupuleux de parier à la baisse des actions spécifique lors du drame du 11 septembre.
Nous devons donc pouvoir acheter si on a de quoi payer et vendre ce qu’on a, mais ne plus pouvoir vendre ce que l’on n’a pas.
La spéculation à la baisse ne peut plus exister !
- Engagement dans le temps lors d’acquisition d’action.
Dans le système boursier actuel, nous pouvons acheter et vendre à volonté des actions sans aucune limite. Ainsi, on peut acheter une action EDF à 10 heures du matin, pour la revendre 1 heure plus tard.
Il est donc nécessaire d’établir des lois interdisant cette pratique au jour le jour et placer un engagement de deux mois (par exemple) concernant les dites actions.
- De nouveau moyens pour la COB
Il apparait que la commission des opérations boursières se révèle totalement insuffisante pour établir des rapports d’entreprises qui soient fiables !
Il est nécessaire donc pour la COB d’avoir des moyens viables, se détachant de toute pression politique et financière pour avoir les moyens de contrôle d’entreprise et contrôler les opérations boursière parfois douteuses.
- Interdire la spéculation sur les matières premières
Que ce soit pour le pétrole, uranium, nourriture, métaux ou autres matières premières, la spéculation sur ces matières déséquilibre de manière conséquente les cours et ceci de manière artificielle, ce qui va à l’encontre du libre échangisme.
De puissantes mannes financières se jouent donc de part leurs capacités financières des cours et influent gravement sur leur cours pour en tirer du bénéfice au détriment des entreprises et citoyens qui en payent directement ou indirectement les conséquences.
Il s’agit en fait d’impôt direct de la part de capitaux financiers sur les entreprises, citoyens et pays de manière générale.
De surcroit, les mannes financières ainsi utilisées ne sont en aucun cas « productives », et agissent donc de manière parasitaire sur l’économie en général et ses principes fondamentaux.
L’argent doit être utilisé pour des projets réels et non plus pour faire de l’argent avec de l’argent.
Ces séries de propositions visent donc à redonner une impulsion à la production, aux citoyens et aux entreprises plutôt qu’à des mannes financières.
Il va sans dire que ces propositions sont selon nous une nécessité absolue pour à la fois réguler la bourse et redonner la richesse vers ceux qui les produisent (entreprises/travailleurs).
D’autres propositions peuvent largement être émises et soumises
Les impôts
Les impôts doivent être payé là ou la richesse à été reçue.
Exemple, si Johny Halliday reçoit de la vente de disque en France 1 Million d’€, alors ces 1 million doivent être taxé dans le pays ou la richesse à été faite
Idem pour les entreprises
Cela éviterait les « fuites » vers des pays défiscalisés de gens très riches
Idem pour les entreprises
Concurrence libre et non faussée
Cet article n’est que très partiellement appliqué.
En effet, la concurrence est faussée à partir du moment ou les lois sociales d’un pays à un autre ne sont pas les mêmes.
Une taxe sociale adaptée au système social du dit pays importateur devrait selon ce principe être appliquée.
Ce qu’il faut savoir, c’est que cette dite concurrence fut voté lors de Maastricht, et de l’Europe des 12 ou à l’époque, les pays de l’UE (ou de la CEE) avaient des pays ou les droits sociaux étaient globalement similaires
Moratoire sur la grande distribution
Ce qu’il s’est passé aux Antilles s’applique de manière peut être un peu moins brutale mais tout autant en métropole.
Ainsi, une poigné de très grand distributeur ont main mise sur ce secteur qui fausse complètement la supposé concurrence. Ainsi des écarts énormes s’observent entre le prix payé aux producteurs et le prix payé par le consommateur.
Ces écarts ne peuvent être que drastiquement réduit
Aide à l’autogestion d’entreprise en faillite
Lorsqu’une entreprise fait faillite, une aide Européenne ou d’Etat doit être proposé aux ouvriers et cadres de l’entreprise pour « autogérer » cette dernière.
Cela marche en Amérique du sud, pourquoi pas ici.
Des fonctionnaires d’état ainsi seraient affectés pour aider à la fois juridiquement et d’un point de vue organisationnelle l’entreprise en faillite pour tenter l’autogestion de l’entreprise.
Ces entreprises autogérées furent légions dans le début des années 70 en France mais l’anathème des entreprises « standards » fut lancé contre elles, signant leur arrêt de mort.
Les états devront donc veiller à ce que telles choses ne puissent se reproduire.
- Le chômage
Les écarts constatés entre pays européens sont souvent dus à des modes de calculs différents d’un pays à un autre.
Il apparait donc nécessaire d’établir un mode de calcul standard européen pour avoir un calcul le plus fiable possible d’un pays à un autre.
- Les délocalisations
Seront « combattu » par l’aide à l’autogestion des entreprises en faillite doublé d’une correction de la notion de la concurrence libre et non faussée
- Conditions de travail et travail au noir
Selon l’INSEE, le travail au noir représente non moins de 5% du PIB.
Le travail au noir, si tout le monde le dénonce, aucune mesure concrète et forte n’a encore jamais vu le jour, surtout par le manque de moyen des inspecteurs du travail dont leur nombre apparait comme très largement insuffisant.
Le travail au noir ET la dégradation récente des conditions de travail sont essentiellement dus à la toute puissance de la compétitivité exacerbée que l’on nous impose.
Les états et autres institution ne dérogent pourtant pas à la règle, choisissant le moins cher tout en étant peu regardant sur les conditions de travail de la dite entreprise.
Il y a donc plusieurs points d’attaque à étudier :
1 – Le droit du travail doit primer et ceci de manière absolue à toute forme de compétitivité.
Il faut donc redonner des moyens conséquents aux inspecteurs du travail. Les réformes en ce sens devront suivre les avis concertés des professionnelles (syndicat des inspecteurs du travail, syndicat des entreprises et organisation patronale)
2 – Multiplier de manière significative les contrôles concernant le travail au noir
Il apparait nécessaire que cette multiplication de contrôles ainsi que l’augmentation substantielle des amendes soient suffisants pour que le travail au noir ne devienne plus « rentable » à l’entreprise.
- L’immigration
L’immigration a des sources qu’il faut étudier :
L’éducation dans les pays pauvres
L’éducation faite dans les pays pauvres s’inspire toujours du colonialisme. Ainsi, dans les pays africain, nous pouvons voir des programmes instruisant les élèves sur l’Europe et l’occident de manière essentielle.
Il apparait donc extrêmement clair qu’il faut changer les programmes via une coopération Europe/Afrique afin d’établir des programme remettant l’Afrique au centre de l’éducation africaine.
Ces relents colonialistes existent toujours et sont une source intarissable de création d’envie de la part de nombre d’africain à vouloir absolument venir en Europe ce qui a pour conséquence un afflux migratoire créant de la misère humaine en Europe, mais également détruisant une grosse partie de la force africaine qui en a pourtant besoin pour son développement.
Cette coopération devra donc se faire sous le principe de fierté africaine, les programmes éducatif étant fait par les africains pour les africains. L’Europe ne fera qu’aider (les intellectuels africains pouvant bénéficier des recherches faites ici sur l’éducation pour l’élaboration de nouveaux programmes éducatifs)
Donner de réels moyens aux pays pauvres pour leur développement
Par le principe de concurrence libre et non faussée, il faudra détaxer de manière très significative les denrées issues de commerce équitable (un commerce qui profite d’abord au peuple local).
Former les africains aux techniques de créations d’énergie durable (envoie d’ingénieurs, de formateurs et de technicien), former les immigrés clandestins à ces techniques afin que leur retour soient profitable à leur pays, à leur peuple.
Établir des plans d’échange de denrées alimentaires sous forme de troc et non plus par rapport à des aléas boursiers (blé contre café)
En effet, le FMI a pour ainsi dire imposer aux pays pauvres des cultures non vivrières et il est du ressort de la justice que d’assurer un échange équitable dans le temps
Moratoire sur la concurrence de certaines firmes alimentaires dans les pays en voie de développement ou certaines firmes n’hésitent pas à vendre à perte (dumping) pour fusiller les marchés locaux vivriers.
Une législation internationale est pour cela nécessaire pour bannir ce genre de pratique.
Accord bilatéraux entre pays en voie de développement et pays riche
Dans bien des pays en voie de développement, en plus de la promotion des pays occidentaux dans les écoles, il y a des promotions presque étatique pour aller dans les pays occidentaux (affiche du style « venez en France faire fortune » dans les centres villes ou village)
Cette promotion de la France, Europe et occident n’est ni profitable pour l’Europe, ni pour l’Afrique car ce sont les africains les plus cultivés et plus riches qui tente l’aventure dans des conditions bien souvent horribles voire mortelles.
De plus, bien souvent les émigrés subissent des échecs car la vie pour un sans papier est très rude… Et lorsqu’ils se font expulser, ils doivent porter la honte de l’échec ce qui intensifie encore plus la tragédie qui se joue.
Ces accords doivent donc être établis, à savoir ne plus faire de « promotions » pour les « pays riches » et informer la société africaine que la vie dans nos pays pour les sans papiers n’est en rien chose aisée.
L’immigration choisie voulue par Sarkozy est une hérésie totale car les conséquences de cette immigration choisie est de vider une élite africaine et donc par répercussion fauche les principales ressources humaines africaines, maintenant ces pays dans une misère latente et persistante.
Il faut voir les choses en face, nous fustigeons l’immigration comme maux de tous nos malheurs, alors que dans les faits, nos politiques cautionnent un système qui maintient nombre de pays dans la pauvreté et la misère favorisant ainsi une immigration de masse vers nos pays, incluant une misère humaine en plus certaine.
Partons donc du principe simple, à savoir une aide sincère aux pays à fort taux d’émigration avec en retour un arrêt de la promotion de nos pays.
Ce principe, jamais aucun politique ne l’a évoqué !
Pour finir, les hommes naissent libres et égaux en droit, qu’ils soient immigrés clandestins ou natif français. Il est tout à fait anti républicain de condamner des personnes qui aident des immigrer dans la misère quand ces personnes souvent bénévoles ne font partis d’aucune mafia ou autre.
Les dérapages multiples quant à nos principes fondamentaux (condamnation de bénévoles innocents… coupable QUE d’aider son prochain) sont à dénoncer avec la plus grande des fermetés.
Ce principe vise donc la source de l’immigration non choisi (que ce soit par les deux pays, le pays d’accueil et le pays de départ), prenant en compte l’ensemble des paramètres